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BULLETIN S.H.E.D. N° 26 – MARS/AVRIL 2017

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9 mars 2017Roger SOULIEUX : Des Havrais prisonniers  de guerre en Allemagne : Partie 2/de 1942 à leur libération.

Après avoir subi les épreuves de la défaite et de leur capture, les prisonniers français encore en Allemagne sont maintenant installés dans la captivité.

L’espoir d’une libération avant la fin de la guerre s’estompe, leur rapport avec leur environnement change et ils subissent les conséquences de l’évolution des évènements militaires et des relations entre le Reich et le gouvernement de Vichy……

27 avril 2017Jean-Yves LEFRANÇOIS : Evolution de la flûte traversière du 17ème siècle à nos jours. Les différents matériaux utilisés pour sa fabrication ainsi que son  mécanisme qui s’est développé.

Jean-François Champollion est né le 23 décembre 1790 à Figeac dans le Lot. Elève surdoué, il étudie avec son précepteur Dom Calmet, qui lui communique sa passion pour les textes et langues anciens. Il apprend le latin, le grec, l’hébreu, l’arabe, le sanscrit et plus tard le copte.

Il a neuf ans lorsqu’un français Pierre-François-Xavier Bouchard, officier du génie de l’armée de Bonaparte, découvre, en 1799, à la faveur de travaux à Rashid (en français Rosette),  une pierre sur laquelle figure un texte qui se révèlera  être en écriture hiéroglyphique, démotique et grecque. Il s’agit d’un décret rendu par les prêtres égyptiens en l’honneur de Ptolémée.

Durant ses études à Grenoble, il fait la connaissance de Joseph Fourier, préfet de l’Isère, qui avait fait partie des 143 savants emmenés en Egypte par Bonaparte, et en avait ramené une quantité d’écrits non élucidés.

Monté à Paris, Jean-François fréquente la bibliothèque impériale, le Collège de France et l’école des langues orientales. Lors d’une visite à la commission d’Egypte, l’abbé de Tersan lui fait obtenir une copie de la pierre. Ce sera la grande passion à laquelle il consacrera dix ans de sa vie jusqu’à la traduction complète de cette énigmatique découverte.

En 1828, en qualité de conservateur des collections égyptiennes, il est chargé d’une mission scientifique et met pour la première fois les  pieds en Egypte, pays qu’il connaît à fond mais par l’histoire seule.

Rentré en France deux ans après, il poursuit ses travaux. Il meurt à Paris le 4 mars 1832, âgé de 42 ans, sa santé minée par le travail intensif auquel il s’est livré  durant toute sa vie.

En 1833, l’Etat acquiert tous ses écrits et charge son frère Jean-Jacques d’en assurer la publication.

11 mai 2017Eric LELOUP : Lectures de courriers échangés entre les combattants et leur famille durant la guerre 1914/1918.

8 juin 2017Florence ROUMEGUERE : 500 Havrais Libres pendant la guerre 1939/1945.

16 juin 2017 – Journée spéciale en partenariat avec le C.H.R.H. pour commémorer les 500 ans du Havre. Le détail figure sur les programmes mis à votre disposition.

Sports : FOOTBALL : le HAC rencontrera sur son terrain : 10 mars : Clermont Football, 31 mars : Stade de Reims, 7 avril : Stade Lavallois, 21 avril : R.C. Lens

BASKET BALL : St-Thomas  rencontrera : 18 mars : Caen Nord Basket, 1er avril : St-Laurent de la Plaine, 15 avril : Laval U.S.

Regards sur le passé :

31 mars 1547, le roi François Ier meurt au château de Rambouillet. Les funérailles dureront deux mois puis le cercueil sera déposé dans la crypte de l’abbaye de Saint-Denis.

15 mars 1917, le tsar Nicolas II démissionne après 23 ans de règne, en butte aux révoltes paysannes et aux défaites militaires qu’il a subies. Selon certaines sources, déporté en Sibérie, il aurait été assassiné sur ordre du soviet de l’Oural le 17 juillet 1918, en compagnie de sa femme Alix de Hesse-Darmstadt, petite-fille de la reine Victoria, de ses cinq enfants, de son médecin et de trois domestiques.

25 avril 1792, dans le salon du baron De Dietrich, maire de Strasbourg, un jeune officier Joseph Rouget de l’Isle présente son chant patriotique « Chant de guerre pour l’armée du Rhin ». Repris par les fédérés marseillais en 1792 il est nommé Marseillaise par les Parisiens et sera décrété chant national en 1795 par la Convention et hymne national en 1879 lors de la troisième république.

Un peu de fantaisie : « C’est au pied du mur qu’on voit le maçon » atteste d’un travail bien fait par un professionnel, mais un de nos humoristes, trop tôt disparu disait : « C’est au pied du mur qu’on voit mieux le mur »…